Accueil CultureLittérature Cloture du 26e Salon International du Livre d’Alger (Sila)

Cloture du 26e Salon International du Livre d’Alger (Sila)

Par ferhat87

Une affluence qui défie le temps

Le rideau est tombé sur le 26e Salon International du Livre d’Alger, événement phare de la culture littéraire, clôturant ainsi dix journées intenses d’échanges et de découvertes littéraires. Dans les allées du Palais des Expositions, l’afflux continu des visiteurs ne s’est pas démenti, même lorsque l’heure était venue de plier bagage. Les éditeurs, en pleine effervescence, ont tout de même observé une légère baisse de l’affluence et des ventes en cette ultime journée, malgré des offres alléchantes sur les ouvrages pouvant atteindre les 50% de remise.

Un écho international pour la littérature

Ce salon, véritable plateforme internationale, a réuni 1283 exposants venus de pas moins de 60 nations, avec une représentation notable de 18 pays africains. C’était une célébration de l’Afrique, mise à l’honneur à travers des rencontres et des panels dédiés à sa littérature foisonnante et à sa pensée riche, animés par des intellectuels et écrivains de renom.

Sous le signe de l’Afrique

Le pavillon central s’est transformé en une agora de la pensée africaine, accueillant durant huit jours un “espace africain” vibrant au rythme des discussions sur la littérature engagée du continent et la pensée africaine contemporaine. Parmi les figures honorées, Nelson Mandela et Frantz Fanon ont été les phares de débats captivants, reflétant l’engagement et la richesse intellectuelle de l’Afrique.

Rencontres de géants des lettres

La manifestation a été le théâtre de prestigieuses apparitions littéraires algériennes, africaines, arabes et internationales. Auteurs, historiens, universitaires, tous ont pris part à des dialogues et des débats diversifiés, touchant à l’histoire, à l’ère du numérique, aux enjeux de la traduction, ou encore à la littérature jeunesse.

Engagement pour la Palestine

Le “espace Ghaza” a incarné le soutien indéfectible à la cause palestinienne. Rencontres littéraires, séances poétiques, tout a été orchestré pour mettre en lumière la résilience et la lutte du peuple palestinien, avec, en figure de proue, l’écrivain et poète Ibrahim Nasrallah.

Le virage numérique

L’espace numérique a pris le pouls de l’innovation littéraire, offrant une tribune aux débats sur l’édition digitale, l’écriture à l’ère du numérique et les questions cruciales des droits d’auteur dans ce contexte en perpétuelle évolution.

Un bilan qui invite à l’optimisme

Mohamed Iguerb, le commissaire du salon, a dressé un bilan plus que positif lors de son allocution de clôture. Avec plus de “420” activités culturelles et “300 000 titres” présentés par un millier d’éditeurs de 60 pays différents, dont une forte représentation algérienne et africaine, le 26e Sila a tenu toutes ses promesses sous le signe évocateur “L’Afrique écrit l’avenir”.

L’édition de cette année du Salon International du Livre d’Alger a été une véritable célébration de l’esprit littéraire, un point de rencontre pour les esprits créatifs et les passionnés de littérature du monde entier, soulignant l’importance de la littérature africaine et internationale et célébrant la diversité culturelle qui enrichit l’humanité tout entière.

FAQ (26e Salon International du Livre d’Alger)

Quand le 26e Salon International du Livre d’Alger s’est-il terminé ?

Le 26e Salon International du Livre d’Alger a clôturé ses portes un samedi soir, après dix jours d’expositions et d’activités culturelles.

Y a-t-il eu beaucoup de visiteurs pour la dernière journée du salon ?

Oui, malgré la fin imminente du salon, les visiteurs ont continué à affluer pour profiter des derniers moments de l’événement.

Les éditeurs ont-ils noté une baisse des ventes lors de la dernière journée ?

Certains éditeurs interrogés ont rapporté une baisse remarquable des ventes lors de la dernière journée, même si des réductions allant jusqu’à 50% étaient proposées.

Combien d’exposants ont participé à cette édition du salon ?

Pas moins de 1283 exposants de 60 pays différents, y compris 18 pays africains, ont pris part au 26e Salon International du Livre d’Alger.

Le salon a-t-il rendu hommage à des figures littéraires ?

Oui, le salon a rendu hommage à des figures emblématiques telles que Nelson Mandela et Frantz Fanon et a mis en avant la pensée et la littérature africaines.

Le salon a-t-il inclus des espaces dédiés à des causes spécifiques ?

Oui, un “espace Ghaza” a été dédié à la Palestine, et des espaces ont été consacrés à la littérature numérique et aux droits d’auteur à l’ère numérique.

Quel était le slogan du 26e Salon International du Livre d’Alger ?

Le slogan du salon était “L’Afrique écrit l’avenir”, soulignant la contribution de l’Afrique à la littérature mondiale et à l’avenir culturel.

Quel bilan a été tiré de cette édition du salon ?

Le bilan a été très positif, avec plus de 420 activités culturelles et plus de 300 000 titres proposés par les éditeurs, reflétant la dynamique culturelle du salon.

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